( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 7

Le lendemain (mercredi donc) je me lève assez tard genre vers 16h, je me prépare je m’habille tout ça puis Laura me dit que Ellie a essayer de m’appeler pendant que je dormais.
Je m’isole dans la chambre et la rappelle.
Moi: Allo Ellie?
Ellie: Comment ça vaaaaa?
Moi: ca va ca va et toi?
Ellie: ca va mais écoute je veux bien te revoir alors disons que quand tu rentres on se voit au café comme avant
Moi: ca marche poulette! Bisous
Ellie: bisous
Je raccroche et rejoins le salon.
Laura: alors? alors?
Moi: je la vois quand on rentre!
Elle me saute dessus et me fais un câlin!
La journée passe et le soir on se rend au bar a notre habitude. On commence a être connu là bas alors quand on arrive les serveuses viennent nous claquer la bise.
Anna (une serveuse): Alors, tu les a toutes eut toi hein! T’es en chien ou quoi?
Moi: je suis irrésistible j’y peut rien tsais!
Anna: moi j’arrive a te résister ahah
Moi: en même temps je fais rien pour t’avoir mais t’inquiète un jour dans mon lit tu dormiras!
Elle rigole.
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 6

 

Reprenons l’histoire le mardi de la semaine d’après.
Cet après midi avec Laura on décide d’aller au squat de ses potes. J’étais un peu saoulée de rester avec eux alors j’ai décidée d’aller faire un tour au « Camden Market ».
Je me baladais dans les rues de ce marché gigantesque lorsque je croise le regard d’une jeune fille blonde aux yeux bleus. Ces quelques secondes m’auront perturbé. Elle était si belle… Elle avait des dreadlocks sur la tête, des yeux bleus rayonnant, un sarouel colorés, et un visage si beau et si parfait, rien de sa beauté n’était laisser de côté… Son sourire éclatant! Oh mon dieu!
Quelques heures plus tard on se rend au bar puis ce soir encore je repars avec une fille mais je n’avais envie de rien, pas même de cette sirène dont le corps était allongé sur mes draps, je ne pensais qu’à cette fille, j’imaginais son prénom: peut être s’appelait-elle Adèle? Ou bien Emma? Non Ines, elle doit peut être s’appelait Ines!
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 5

 

Mardi 9h30 - Chez Telly
J’ouvre les yeux et voit Telly endormis sur moi, je quitte alors le lit avec discrétion, attrape mes affaires, me rhabille et quitte l’appartement de Telly en laissant un petit mot avec écrit: « on se voit plus tard, bisous ».
Mardi 10h - A l’appart
Je rentre discrètement dans l’appart, prend une douche et quand je sors de la salle de bain couverte d’une serviette je croise Laura:
Laura: aloooors?
Je souris
Laura: je veux tout savoir! De la taille de sa poitrine a la couleur de ses draps je veux TOUT savoir!
Moi: t’as cru que j’allais mater les draps toi? Non sans rire c’était très très bon…
Laura: et tu vas la revoir?
Moi: bah non les meufs comme ça non merci…
La journée passe et le soir on retourne au bar.
Et pendant toutes la première semaine les filles s’enchaînent dans nos lits. Il y a des filles qui parfois en un seul regard pouvait tout te faire comprendre…
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 4

 

Lundi 23 h - Girl Bar
Laura m’a proposé de passer la soirée dans un bar lesbien. C’est la première fois que je me rends dans un endroit comme ça. Lorsque j’étais avec Roxanne nous ne sortions jamais dans des bars gay et avant, j’étais trop jeune pour y entrer.
Laura elle est une habituée des bars alors elle me prend par le bras et me dit:
Laura: tu vois la fille là bas?
Moi: oui et beh?
Laura: si je l’emballe tu me payes un verre?
Moi: ahahah, ça marche!
Je la vois alors s’en aller et je lance un chronomètre pour voir combien de temps elle mettra. Elle revient au bout de 11 minutes.
Moi: 11minutes, pas mal! Maintenant j’emballe la blonde et t’effaces ma dette ok?
Laura: t’y arriveras jamais mais ok!
Je m’approche de la blonde glisse mes mains sur sa taille pour la contourner et l’aborde:
Moi: salut! Excuse moi je peux connaitre ton prenom?
?: je m’appelle Telly et toi!
Moi: enchantée Amy!
On discute pendant 10 minutes environ et au fil du temps je me rend compte que cette fille est conne comme ses pieds mais je tente le tout pour le tout.
Telly: blablablablablablabla
Moi: chuuut…
Je la prend par la taille, la tire vers moi et l’embrasse langoureusement. Elle me prend la main et donc je la suit! Je vois le visage de Laura se décomposer de jalousie puis elle sourit! Telly me chuchote alors sensuelement a l’oreille: « j’habite a cinq minutes… On va chez moi? »
Je lui sourit alors.
Nous arrivons chez elle quand elle me pousse sur son lit tout en m’embrassant. J’en profite pour passer mes mains sur sa poitrine généreuse qui ne tarda pas a se dénudée sous mes yeux. S’en suit alors une partie de jambes en l’air.
Il est environ deux heures du matin lorsqu’elle pose sa tête sur ma poitrine et s’endort nue contre moi. Je prend alors mon portable et prend une photo des fesses nues de Telly que j’envoie a Laura accompagnée du message:
« Tu comprends pourquoi je rentre pas dormir chez toi ce soir… ». Elle me renvoie une photo d’elle seule dans son lit en disant: « chanceuse! ».
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 3

 

Lundi 10 h - Aéroport Roissy Charles de Gaule
Je rejoint Laura a l’aéroport, nous enregistrons nos bagages, montons dans l’avion.
Lundi 11 h (heure anglaise) – London Airport
Nous arrivons donc a Londres et rejoignons le quartier de punk de Camden ou vit la tante de Laura. Sa maison est immense, a vrai dire, elle possède tout un immeuble de six appartements disposés sur trois étages, elle nous donne les clés d’un appartement et nous nous installons.  Notre baie vitrée donne pile en face d’un squat punk, la musique des Sex Pistols retentit dans tout le quartier.
Le temps passe et nous rejoignons des amis de Laura dans le squat que j’observait depuis l’appart. Les présentations sont rapidement faîtes, il y a quelques filles qui sont plutôt mignonnes et trois garçons adorables. Je discute avec tout le monde et je les comprends a peu près.
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 2

Dimanche 13h – Chez moi
Je prend une grande inspiration et tape le numéro d’Ellie.
?: vous êtes bien sur le répondeur d’Ellie, laisser un message après le bip et je vous rappellerai, bisous!
Moi: … Salut Ellie… C’est moi, enfin, c’est Amy. Je voulais m’excuser de t’avoir laisser comme ça quand Roxanne me l’a demandée. Elle ne fait plus partie de ma vie maintenant… Enfin… Je ne fais plus partie de la sienne et j’aimerais te revoir. Même si tu ne veux pas que tout redevienne comme avant j’aimerais juste te revoir une fois pour que nos adieux soient digne de ce qu’on a vécu ensemble. Je pars a Londres demain pour deux semaines, je t’appellerai à mon retour… Je t’embrasse et j’espère que tout va bien.
C’est bizarre mais je me sens mieux maintenant que je l’ai appelée, entendre sa voix, même sur son répondeur m’apaise!
Je vais vers mon placard pour faire ma valise et… Il est vide!
Je prend a nouveau mon téléphone et compose le numéro de Catherine qui est la mère de Roxanne.
Catherine: allo?
Moi: allo Catherine, c’est Amy…
Catherine: oh Amy! Comment vas-tu?
Moi: et bien ça va… Dites, je peux passer récupérer mes affaires ou vous pouvez les déposer quelque part et je viens les chercher parce que demain je pars en Angleterre et je n’ai plus rien a me mettre…
Catherine: mais bien sure ma chérie, viens je t’attends!
 – Catherine, qui est donc la mère de Roxanne, a toujours était là pour moi, chez elle c’était comme chez moi, elle m’a toujours accueilli chaleureusement que je sois une simple amie de sa fille ou bien sa petite copine. –
Dimanche 14h30 – Chez Catherine
Nous discutons tout en buvant un verre de limonade bien fraiche.
Catherine: je trouve ça quand même bête qu’elle t´ai quittée pour cet abruti de Dylan!
Moi: …
Catherine: oh oui excuse moi… Je vais aller te chercher tes affaires, je te les ai lavées, repassées, tout ça, bon, je reviens, fais comme chez toi.
Je prend mon téléphone en l’attendant quand la porte s’ouvre. Je vois Roxanne entrer suivi de Dylan, elle semble aussi surprise que moi de me voir assise dans son salon.
Dylan à Roxanne: Elle fait quoi là elle?
Roxanne: je sais pas!
Catherine réapparait alors avec mon sac de linge.
Roxanne à Catherine: Non mais maman, qu’est ce qu’elle fait là? Tu n’as toujours pas compris que c’est Dylan que j’aime maintenant?
Catherine: je suis encore chez moi, je peux faire venir qui je veux, enfin!
Moi: ouais enfin je vais y aller! Merci Catherine.
Je prend mon sac et je m’en vais, au moment de passer la porte j’entends l’autre connard de Dylan lâcher un « c’est ça barre toi sale gouine ».
Au son de ses mots je lâche mon sac, me retourne et envoie un grand coup de poing dans la joue de Dylan, il est déséquilibré et tombe à terre. Roxanne se jette à ses pieds tant dis ce que Catherine me sourit avant que je m’en aille!
En sortant je prends mon téléphone, appelle Laura et lui cri: LONDON BABY!
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Partie 1

Samedi 10h du matin – Chez moi
*TOCTOCTOC*
Je suis réveillée en sursaut, je m’assois dans mon lit…
*TOCTOCTOC*
Moi: Ouais deux secondes j’arrive!
J’enfile un jogging, un tee-shirt et vais ouvrir la porte.
?: saluuuut, je peux rentrer? Merci!
Moi: salut Laura fait comme chez toi!
– Laura c’est une très bonne amie a moi. Elle aussi elle est lesbienne, nous nous connaissions depuis longtemps mais nous nous sommes rapprocher qu’il y a un ou deux ans quand elle a appris que moi aussi j’étais homo. –
Laura: Bon, comme j’en ai marre de te voir mal a cause de cette connasse tu vas te bouger le cul, t’habiller et on va aller faire un tour.
Moi: déjà non c’est pas une connasse et non je n’ai pas envie de bouger.
Laura: bon ok, cette pute t’a larguée comme une merde, a garder ton appart et ne veut pas te rendre tes fringues ça fait un mois que tu vis dans une chambre de bonne à poil c’est bon là donc tu vas bouger ton petit cul, tu vas t’habiller et je t’emmène a Londres chez ma tante!
Je me met a sourire puis a rire, elle fait de même. Je me lève, vais ouvrir mon placard, m’habille et je sors avec Laura dans un café et on papote.
Au fil de la discussion elle reviens a parler de Roxanne.
Laura: il faut quand même avouer que cette fille t’a pourri la vie, tu as même couper les ponts avec ta famille et avec Ellie alors que vous étiez inséparable!
– Ellie c’était ma meilleure amie, elle a quatre ans de plus que moi et quand je me suis mis avec Roxanne puis au moment de mon coming-out elle a toujours était là pour me soutenir. Mais moi, aveuglée par l’amour que je portais a Roxanne, je voulais tellement la garder près de moi que j’ai décider de m’éloigner d’Ellie sans jamais lui donner d’explications… –
Moi: c’est vrai, putain mais qu’est ce que j’ai étais conne! je vais l’appeler!
( 1 février, 2015 )

Chronique de L’Archiviste – Préface

Introduction: Cette chronique est le fruit de l’imagination de L’Archiviste. Disponible sur Wattpad au nom de: « Je suis jeune donc je vis« .

 

Je m’appelle Amy, j’ai 20 ans tout pile, je suis assez androgyne (masculine), j’ai les cheveux courts, j’habite a Paris et je suis célibataire depuis 1 mois maintenant. Roxanne, la fille avec qui j’étais (ah oui, je suis lesbienne) depuis mes 15 ans, m’a quittée il y a  1 mois en me disant qu’elle avait trouvé quelqu’un. Se faire larguer n’est jamais agréable surtout quand c’est un premier amour et qu’elle est partie avec un homme.

L’histoire débute en juillet, je viens de finir mon année de fac en histoire de la musique et des médias. Je ne me suis toujours pas remis de cette rupture, c’est très dur pour moi, je pensais avoir trouver l’amour de ma vie et j’avoue que depuis qu’elle m’a quittée je n’ai plus envie de rien…
( 1 février, 2015 )

Le roi est mort. Vive le roi ! (31/01/2015)

Aujourd’hui papy, tu nous as quittés…

Je ne te l’ai jamais dit mais je t’aime, tu ne pourras plus l’entendre mais au moins je te le dit: je t’aime papy.

Je voulais te remercier de nous avoir pris sous ton aile maman et moi lorsque nous étions dans le besoin. Ces quatre mois où j’ai crechai sous ton toit étaient les plus rassurant de mon existence.
Je ne serai pas présente à tes obsèques et je te demande de ne pas m’en vouloir,

Je ne pense pas avoir les épaules assez solides pour tous les voirs pleurer sur ton départ.

Un enterrement c’est macabre, c’est se faire encore plus de mal. Comme un bain de pleurs collectif ou la retenue est reine.
Je suis la plus grande des plus petits, je ne serai pas présente pour te voir en terre ce mercredi, mais pendant tout le reste de ma vie, c’est pour toi que mon cœur battra papy.

( 1 février, 2015 )

Charlie Hebdo (écrit du 07/01/2015)

Il n’est pas dans mes habitude de m’exprimer sur des sujets politique mais je suis aujourd’hui écœurée, choquée, agacée par les événements.

 

Rappels des faits:

Le 7 janvier 2015, trois hommes vêtus de noir entrent dans le siège du journal Charlie Hebdo et y ouvrent le feu à la Kalachnikov, tuant 12 personnes dont 2 policiers, et blessant grièvement au moins 4 personnes selon le parquet de Paris. Cette attaque est désignée comme un « attentat terroriste » par François Hollande. Parmi les victimes se trouvent notamment les dessinateurs CharbCabuWolinski et Tignous.

 

 

Les actes de ces deux « hommes » sont ignobles,

-> et encore, on ne peut même pas appelé ça des Hommes car par des actes aussi barbares, le principe d’humanité n’est pas respecté.

 

les images m’ont donnés envie de gerber. C’est dégueulasse. Parce que ce n’est pas seulement un journal et des dessinateurs qui on étaient tués, ce sont des valeurs françaises. Notamment le principe de « Liberté d’expression », qui est violé, détruit. Oui, « détruit », c’est le mot que j’emploie. Parce qu’après des siècles de galère pour obtenir se droit, il nous ai enlevé.

 

-> Il y a quelques mois encore on s’acharnait sur Dieudonné et son trop plein de liberté d’expression, lui au moins, s’en est servi avant qu’elle ne meurt.

 

Je suis dégoûtée, révoltée.

Et ce qui me dégoûte encore plus ce sont tous ces commentaires sur les réseaux sociaux. Alors que des gens sont en deuils, que la France est plongé dans une déprime totale certains trouvent à dire sur Twitter que c’est « bien fait pour eux » ou encore qu’ »ils l’ont bien cherchés ».

 

Et bordel, le métier de journaliste dans tout ça? Reporter de guerre était considéré comme un métier à risque, bientôt, journaliste dans un bureau va l’être aussi?

 

Après tout ça, certains s’étonneront de la réactions des jeunes, que certains partent à la dérive mais bordel, vous rendez-vous compte de la paranoïa que propage ce genre d’événement? Une paranoïa qui se transforme rapidement en folie.

 

J’aimerais terminé sur quelques précisions:

 

Tout d’abord; NON, tous les terroristes ne sont pas islamistes.

NON, tous les musulmans ne sont pas islamistes .
Et NON, tous les arabes ne sont pas musulmans.

 

CHARB, mort ce 7 janvier 2015 à dit:

Il n’est pas dans mes habitude de m’exprimer sur des sujets politique mais je suis aujourd’hui écœurée, choquée, agacée par les événements.

 

Rappels des faits:

Le 7 janvier 2015, trois hommes vêtus de noir entrent dans le siège du journal Charlie Hebdo et y ouvrent le feu à la Kalachnikov, tuant 12 personnes dont 2 policiers, et blessant grièvement au moins 4 personnes selon le parquet de Paris. Cette attaque est désignée comme un « attentat terroriste » par François Hollande. Parmi les victimes se trouvent notamment les dessinateurs CharbCabuWolinski et Tignous.

 

 

Les actes de ces deux « hommes » sont ignobles,

-> et encore, on ne peut même pas appelé ça des Hommes car par des actes aussi barbares, le principe d’humanité n’est pas respecté.

 

les images m’ont donnés envie de gerber. C’est dégueulasse. Parce que ce n’est pas seulement un journal et des dessinateurs qui on étaient tués, ce sont des valeurs françaises. Nottament le principe de « Liberté d’expression », qui est violé, détruit. Oui, « détruit », c’est le mot que j’emploie. Parce qu’après des siècles de galère pour obtenir se droit, il nous ai enlevé.

 

-> Il y a quelques mois encore on s’acharnait sur Dieudonné et son trop plein de liberté d’expression, lui au moins, s’en est servi avant qu’elle ne meurt.

 

Je suis dégoûtée, révoltée.

Et ce qui me dégoûte encore plus ce sont tous ces commentaires sur les réseaux sociaux. Alors que des gens sont en deuils, que la France est plongé dans une déprime totale certains trouvent à dire sur twitter que c’est « bien fait pour eux » ou encore qu’ »ils l’ont bien cherchés ».

 

Et bordel, le métier de journaliste dans tout ça? Reporter de guerre était considéré comme un métier à risque, bientôt, journaliste dans un bureau va l’être aussi?

 

Après tout ça, certains s’étonneront de la réactions des jeunes, que certains partent à la dérive mais bordel, vous rendez-vous compte de la paranoïa que propage ce genre d’événement? Une paranoïa qui se transforme rapidement en folie.

 

J’aimerais terminé sur quelques précisions:

 

Tout d’abord; NON, tous les terroristes ne sont pas islamistes.

NON, tous les musulmans ne sont pas islamistes .
Et NON, tous les arabes ne sont pas musulmans.

 

CHARB, mort ce 7 janvier 2015 à dit:

<< C’est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire,

Mais je préfère mourir debout que vivre à genoux>>

 

J’apporte tout mon soutient à la famille, JE SUIS, NOUS SOMMES Charlie.

 

Merci de m’avoir écoutée.

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